avec A. Dupuy ¦ pour Winfried Veit
décembre 1, 2009
et d’échassier lent de tête, on se traîne en file et longtemps, ce temps figé, ballot de mémoire grosse en mauvais tas, jusqu’aux tempes et visages fondus, l’air foncé, oui, ce qu’on ferme au bas s’amenuise et pollue, […] ce que je voudrais dire, c’est que je suis incapable d’écrire vraiment, de laisser converger mes yeux et de me laisser chasser par eux, parce que la vérité seule m’importe, et parce que dans l’écriture, il n’est question que d’affrontement – – je voudrais dire à